L’hémorragie d’emplois consécutive à la crise se poursuit semaine après semaine, au rythme des faillites, licenciements collectifs et autres restructurations. Ce bain de sang social a lieu tous les jours dans l’indifférence des partis traditionnels. A l’injustice de se retrouver mis à la porte pour une crise dont ils ne sont pas responsables, les travailleurs/euses subissent une autre injustice en tant que chômeurs/euses: les mesures de contrôle de disponibilité et de sanctions, la fameuse « chasse aux chômeurs » .